Accorder une pause au temps
Cet hôtel ne se résume pas à un lieu de passage. Cet hôtel devient un lieu de rencontre, de partage un refuge pour tous ceux qui veulent faire porter leur voix. Le Cirque Gones offre un accueil chaleureux qui demande un temps d’écoute actif.
L’hôtel qui vous accueil n’a pas un style en particulier mais est atypique. Il regorge d’histoires, il en est chargé. Cet hôtel a connu de nombreuses personnes qui y ont déposé un peu d’elle-même, de ce qu’elles sont et de ces histoires. Lorsque des personnes franchissent ses portes, elles apportent de la matière créative pour de nouveaux récits. Les histoires qu’Hôtel Idéale abordent sont des évènements qui constituent la vie de chacun et marquent les esprits. L’hôtel est idéal. L’idée de l’idéal est de trouver de la satisfaction à travers une réalisation. Tout l’engrenage de ces histoires est un modèle qui permet de construire cet hôtel.
« Oui, un bâtiment est raccroché à une personne, non pas parce que les murs ont des oreilles mais parce que les histoires imprègnent les murs. »
L’hôtel qui est constitué de matériaux bruts. Il se définit surtout par son écho mémoriel. Pareillement à la madeleine de Proust, cet hôtel contient l’espace-temps. Le temps trouve sa définition dans la science. La réalité que chacun vie est, principalement, ce qui constitue le temps propre. Ces moments, ces périodes, les personnes qui ont participé aux histoires, les lieux qui recueillent les secrets constituent le concept de l’idéal. L’idéal c’est la vie.
L’hôtel idéal s’engage à protéger vos histoires, vous y trouverez un lieu où vous sentir bien.
La compagnie du Cirques Gones fabrique cet espace, ce lieu est créé de toutes pièces et donc il est sur-mesure. Il est un refuge, à soi, à personne d’autre. L’espace de jeu, tel le théâtre de boulevard est identifiable ; entrés/sortis sont définies. L’hôtel aurait pu être classifié avec 4 étoiles. L’ingéniosité du spectacle se fonde sur quatre piliers stables, les comédiens qui sont à votre écoute et vous font écho. L’idéal est de voir la pièce.
Par curiosité :
La science débat entre la théorie de la relativité d’Einstein et la théorie des cordes.
La première prétend que le poids d’un corps affluence le temps. Chaque personne influe sur la gravité. La gravité est donc en perpétuelle mouvement et donc transforme la courbe temporelle à sa guise.
La théorie des cordes, outre le fait de mêler le néant à l’existent, appuie sur les variations vibrantes de l’univers. La beauté de cette théorie réside sur le fait que tout est possible et plausible.
PILLON Gwenaëlle